martes, 22 de diciembre de 2009

Ceremonia de votos de Carmen García

Compartimos con todas las hermanas y también con la familia de Carmen, estos videos tomados de la en la Ceremonia de sus primeros Votos.

Lecturas escogidas por Carmen




Monición al evangelio


Lectura del Evangelio


Primer llamado e interrogatorio



Rito de Profesión Religiosa



Firma de la Carta de Votos y entrega de las insignias




Peticiones y Ofrenda





Palabras de Agradecimiento de Carmen

jueves, 17 de diciembre de 2009

Carta-Oración de Acción de Gracias por el tiempo vivido con las Hermanas de Canada

COMMUNAUTE N. D DE LA VISITATION

COMMUNAUTE lE CÉNACLE

COMMUNAUTE RÉSISEDENCE ÉMILIE-d'OULTREMONT


PRIÈRE À DIEU

Cher Dieu: je suis très reconnaissante pour ce que tu m’as donné ici au Canada.
Vraiment tu m’as préparée à venir ici.

Je suis venue avec mes oreilles et mes yeux très ouverts, mon cœur attentif à mes sœurs pour comprendre chaque mot, chaque parole, pour accueillir leur vie et également partager la vie de notre région.

Dans les échanges j’ai reçu beaucoup et j’ai donné tout ce que je suis. Je me sens très comblée de la vie de nos sœurs : leur engagement pour accompagner la vie, pour offrir la spiritualité Ignacienne, pour accompagner la vie paroissiale, pour donner un lieu digne aux sœurs plus âgées selon ce qu’elles peuvent vivre avec les soins nécessaires.

Je te Béni mon très cher Père pour avoir la chance de voir comment les sœurs prennent soin des autres.

Je te Béni pour avoir été accueillie dans ce que j’ai partagé de notre réalité régionale. J’ai expérimenté que nous sommes un seul Corp. et une seule âme.

Je te Béni pour la communauté de Pierrette et Rollande qui m’a donné témoignage d’un engagement avec la réalité. Leur capacité d’écoute, leur sensibilité, leur patience. Leur désir pour nous donner tout ce que nous avons besoin pour apprendre bien cette belle langue, non comment une langue morte, sinon comme une langue vivante, remplie de tendresse, de sens, chaque fois approfondir plus pour mieux communiquer notre vie y accueillir la vie de nôtres sœurs de langue françaises.

Le temps ici a été intense et profond. Je ne peux pas dire à nos sœurs à Dieu. Mon cœur reste ici avec chacune, avec beaucoup d’amour et Reconnaissance.
Aussi avec les affiliées, femmes très engagées avec les réalités, très intéressées à vivre vraiment notre Charisme et en témoigner.
Mon cœur reste ici, en chaque lieu que nous visitons à la fin de l’été et le début de l’automne, avec beaucoup de beauté, pour les belles feuilles des érables, la belle neige, la perle qu’est la Bibliothèque Nationale et l’Oratoire Saint Joseph. Dans ces deux lieux je peux voir un peuple de foi et de sagesse.

La messe de chaque jour a été un espace privilégié pour trouver la joie de chaque jour, la confiance et l’espoir pour vivre chaque moment.
La prière de chaque jour a été une école de foi et de français biblique, français incarné dans l’expérience de Dieu.
Merci Cher Dieu tu es grand avec moi.

Partager la vie des immigrants a été un privilége pour comprendre et accueillir dans mon cœur mon lien de solidarité et intercession. Apprendre le français d’une manière concrète avec nos compagnons et compagnes qui ont besoin d’apprendre pour travailler ici à Montréal. Merci Dieu qui regarde chacun et chacune.
En ce moment, je te donne tout ce que tu m’as donné tout est de Toi. Moi aussi je suis à Toi. Béni chaque jour la réalité du Canada. Amen

Note : Quand on apprend une langue, on ne peut pas beaucoup parler, on est comme les petites enfants.
VIELKA RIVERA


AFILIADAS


ORATOIRE SAINT-JOSEPH






BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES NATIONALES DU QUÉBEC





LAS COMPAÑERAS Y EL COMPAÑERO DE LA ESCUELA

sábado, 12 de diciembre de 2009

Feliz Navidad

Queridas Hermanas:
Con gran alegrìa quiero unirme a ustedes en esta fiesta tan linda de la Navidad. Que la llegada de Jesùs llene de esperanza y de vida a nuestros pueblos, y que Èl con su Luz nos de la capacidad de saberlo descubrir en las personas que nos rodean.
Un abrazo fuerte.

Lupita Chavarrìa.

Oratoire saint Joseph

Aujourd'hui, Vielka est allée à l'Oratire Saint Josseph avec Guadalupe.

Aurevoir Rollande

jueves, 10 de diciembre de 2009

Alegría de la Admisión de Carmen a sus primeros votos

MUY QUERIDAS HERMANAS LES TRANSCRIBO ESTE CORREO TAN BONITO QUE ME HA ENVIADO CARMEN DONDE EXPRESA SU ALEGRÍA AL ESTAR ADMITIDA PARA SUS PRIMEROS VOTOS.
LA ALEGRÍA COMPARTIDA CRECE SIN FIN Y SE TEJE ENTRE NOSOTRAS LA SORORIDAD...
UN ABRAZO A TODAS Y YA SABEMOS QUE LOS VOTOS DE CARMEN SERÁN EL 20 DE DICIEMBRE EN EL ESPINO.


Hola Vielka, como estás. Quiero compartirte que estoy muy contenta; confirmada ya la fecha de mis primeros votos estamos con los preparativos. Me siento especialmente acompañada por las hermanas en la comunidad en todos estos preparativos. Estoy muy agradecida con el Señor por experimentar esta alegría de sentirme confirmada en esta familia tan bonita y en este Carisma de la Reparación que tanto me dejada sentir la cercanía, la ternura y el cuidado delicado que el Señor tiene para con cada un@. Le pido la gracia de responder con fidelidad y generosidad a este llamado que me hace a servirle en su pueblo.
Los días pasan rápido y aquí estamos ya esperándolas con mucha alegría.
Un abrazo.
Carmen

miércoles, 9 de diciembre de 2009

Les Affiliées

25e Anniversaire de l’Affiliation au Canada


Le 15 août 2009 en la fête de l’Assomption de Marie, nous avons voulu souligner les 25 ans d’existence des personnes affiliées SMR au Canada.
L'affiliation a succédé aux "dames associées" formule un peu dépassée nous semblait-il.

La première, Renée Lafleur, à s’engager dans l’affiliation à Montréal, l’avait fait le 2 mai 1984, une seconde, Alice Dumais, le 11 juillet et une troisième Yolande Gagnon, le 7 octobre de la même année. Cette dernière est déjà décédée. Les deux premières étaient présentes à la fête de ce 15 août.
Une autre, Fernande Richard s’était engagée à Trois-Rivières le 20 novembre 1984.
Mme Alexina Savard fit son entrée dans l’affiliation le 2 mai 1985 à Hauterive.
À Sept-Îles, Mme Louise Ruest s’est engagée le 31 décembre 1986.

Les années suivantes, plusieurs autres se sont ajouté(es), la plupart ayant suivi les E.V.C.

C’est par une Eucharistie d’action de grâces présidée par l’abbé Christian Milando, prêtre Congolais, que nous avons célébré cet anniversaire dans notre chapelle de la communauté ND-de-la-Visitation.

Après la messe nous sommes restées à la chapelle pour l’action de grâces. À un certain moment l’une d’elles, très émue, a donné son témoignage. Elle était surtout pleine de reconnaissance envers la Congrégation d’avoir été là dans l’épreuve si difficile qu’elle vivait. Alice voulait remercier Sœur Marie-Paule Pelletier alors Provinciale et Sœur Claire Dussault, Supérieure, qui étaient présentes pour l’aider dans l’impasse qu’elle vivait avec tant de souffrance. Elle a souligné combien l’accompagnement des Exercices de Saint Ignace lui avait été d’un si grand secours et lui avait donné une nouvelle vie.
Les autres affiliées présentes acquiesçaient fortement de tout cœur et elles ont voulu affirmer à leur tour combien l’accompagnement des Exercices spirituels et l’appartenance à l’affiliation étaient devenus essentiels pour une vie très pleine et combien elles y tenaient.

Après ces témoignages, S. Lorraine Granger, Supérieur Régionale a voulu souligner que ce 25e anniversaire était un lieu de célébration de la VIE, DE LA FIDÉLITÉ DU SEIGNEUR ET DES AFFILIÉS ET UN TEMPS POUR RENDRE GRÂCE...

Elle a aussi ajouté que si elles avaient reçu beaucoup ce n'était pas à sens unique, mais que de les côtoyer nous avait aussi apporté tout autant et nous avait fortifiées dans notre perception du charisme de réparation... Nous étions aussi stimulées par leur sens de l'appartenance.

Un dîner festif nous a réunies autour de deux tables où nous avons continué des partages joyeux et intéressants.

Dans notre louange, nous n’avons pas oublié d’associer nos autres affilié(es) de Trois-Rivières, Sept-îles, Baie-Comeau et Québec malgré leur absence causée par la distance.

Un grand enthousiasme nous pousse à continuer et nous pensons les intéresser à travailler aux documents si riches qui nous arrivent de Rome sur notre identité SMR.


S. Rollande Archambault smr

martes, 8 de diciembre de 2009

Compartir de la comunidad noviciado: La entrada de Lisvia al noviciado





Queridas Hermanas como comunidad del Espino queremos compartirles esta gran alegría de celebrar la entrada al noviciado de Lisvia. Compartimos este momento las dos comunidades de Panamá la del Espino la Chorrera y la de Cañita.
Ella nos compartió un símbolo que habla de su experiencia de este Jesús Sencillo que ha ido seduciendo su vida este símbolo representado por una maseta con un tallo de rosa, la tierra es Jesús (representa esta raíz de su vida en Jesús) y la Rosa la representaba a ella. la Rosa da vida en gratuidad con su hermoso color y también recibe Vida del exterior de la lluvia , del Sol, en este inicio ella desea recibir toda esa Vida que Este Jesús cercano y sencillo le va dar a través de la gente , la realidad , la comunidad y desde allí ,dar vida a los demás , también hizo un altar de donde al centro estaba el rostro de Cristo de Javier y una imagen de un Cristo crucificado llevando en sus hombros unas casas que representa las casas de los barrancos de la ciudad de Guatemala donde vivió un experiencia de la realidad dura pero que fue acercándola mas a este Jesús sencillo, cercano y del pueblo . También la realidad de este país que la interpela y la cuestiona también los rostros de la gente sencilla sonriendo, la naturaleza que para ella representa toda la vida que es impulsada por este Jesús de Nazaret que la invita a quedarse al pie de la cruz junto a María y su frase que es “VIVIENDO VIVE PARA DIOS EN CRISTO JESUS” que a ella le habla de vivir para Jesús en Libertad, en plenitud, con alegría de vivir este don de la vocación con todo lo que ella es. Ha sido un día lleno de alegría y compartir este nuevo camino junto a Jesús. Seguimos unidas en oración y compartiendo la vida que nos da nuestro señor Jesús en lo cotidiano, en lo sencillo, en lo pequeño.

Comunidad del Espino





miércoles, 25 de noviembre de 2009

jueves, 12 de noviembre de 2009

Compartiendo la Fuerza interior de la Teología Feminista

Muy querida Hermanas, este mes he comenzado de nuevo mis estudios en Efeta. Rosa, me imagino que continuará el otro año, pues está terminando su síntesis.

Me gustaría compartirles este lindo artículo de la compañera María José Echavarri, estudiante de EFETA, que expresa la experiencia que suscita en nosotras al estudiar en EFETA, la Teología Feminista. Si después de leer esto alguna siente deseos de estudiar también, para el año que viene podrían inscribirse.
Un abrazo fuerte desde Canadá y muchos saludos de nuestras hermanas de aquí. La experiencia sigue siendo profundamente significativa, como siempre es Más lo que Recibimos, que lo que damos y la verdad es que las Hermanas aquí tienen MUCHA VIDA QUE COMPARTIR... HASTA PRONTO Y CON CARIÑO, VIELKA

Inicio
Estudiar teología feminista: no digas que es un sueño

13/10/2009
María José Ferrer Echávarri
Hace unos meses, en una boda, una amiga que llevaba años sin ver me preguntó por mi vida. Le di cumplida información de mi situación personal y laboral y añadí: “Y estoy estudiando teología feminista”.

“¿Teología feminista? ¿Qué es eso? ¿No son dos palabras incompatibles?

¿Cómo se estudia?”, dijo con la cara convertida en un interrogante. Sus preguntas, que dieron paso a una charla larga e interesante, me hicieron caer en la cuenta de algunas cosas, pues hasta ese momento nunca me había planteado cómo las teólogas feministas han llegado a serlo.

La teología feminista, mejor dicho, las teologías feministas, pues no hay una sola, han sido y son creadas por mujeres teólogas, sin más adjetivos, de forma autodidacta, leyéndose y estudiándose unas a otras, sirviéndose de herramientas de otras disciplinas, inspirándose en los métodos de otros estudios feministas y siendo también inspiración para otras estudiosas, partiendo siempre de la experiencia de las mujeres, haciéndose preguntas y rastreando las respuestas de manera nueva, cavando con las manos la tierra de la historia para sacar a la luz el pensamiento, la palabra y la vida de las mujeres, invisibilizadas y silenciadas durante siglos y milenios, recuperando las voces femeninas del pasado y del presente, muchas veces feministas sin saberlo, arriesgándose a recorrer caminos inexplorados, peligrosos y liberadores al mismo tiempo, exponiéndose una y otra vez… Aunque oficialmente nacidos en la segunda mitad del siglo XX, los estudios teológicos feministas no son, sin embargo, una disciplina “en pañales”.

Como mínimo, hay que reconocer que la “niña” ya ha aprendido a hablar con fluidez y, por tanto, a pensar. Es más, creo que la teología feminista es una joven adulta y capaz de crear un pensamiento valioso y profundamente transformador.

Nadie puede negar, por tanto, la existencia y la entidad de la teología feminista. Hay teólogos que incluso se atreven a afirmar que la teología feminista es la única que está aportando savia nueva a la “ciencia sobre Dios”. No obstante, la teología feminista, en el mejor de los casos, y no precisamente el más habitual, es una asignatura aislada en las facultades de Teología, especialmente en las que dependen de la Iglesia o de instituciones u órdenes eclesiales. La teología feminista no es tenida en cuenta en muchos círculos teológicos oficiales, pues se considera como algo que compete sólo a las mujeres. En muchas ocasiones, además, el feminismo se considera un peligro, cuando no algo claramente heterodoxo.

Este boicot, patente o latente, a la teología feminista tiene consecuencias.



Por un lado, la invisibiliza, y esta invisibilidad dificulta el acceso a los estudios teológicos feministas de las personas interesadas en ellos. Por otra, ignora las investigaciones, trabajos y logros de las teólogas feministas. En estas condiciones, quienes quieren acceder a la teología feminista han de ser prácticamente autodidactas. Y esa ha sido mi experiencia durante casi una década.

Soy una buscadora de sentido desde que tengo uso de razón, aunque no siempre he sido consciente de ello. Unas veces, son las preguntas las que ponen en marcha una búsqueda. Otras, es precisamente la ausencia de interrogantes la que genera inquietud y un inexplicable deseo de buscar algo, algo que a menudo no se sabe qué es, hasta que se encuentra. Fue lo que me pasó con la teología feminista. Llevaba mucho tiempo buscándola, pero sólo lo supe cuando la encontré y pude poner nombre a muchas intuiciones y vivencias que, hasta entonces, no había sabido formular y, en ocasiones, ni siquiera reconocer.

Mi encuentro con la teología feminista, como muchos grandes descubrimientos, fue algo casual y confieso que no pude resistirme a ella. Desde el primer momento despertó todo mi interés y también un cierto vértigo, pues supe que no sería inmune a sus efectos. Decidí seguir buscando, pero no me resultó nada fácil, a pesar de que no estaba sola, pues formaba y formo parte de un grupo de mujeres, también buscadoras de sentido e interesadas en

la teología feminista. Queríamos saber más y empezamos a trabajar algunos libros, a tientas, inventando métodos para abordarlos y formas de compartir

nuestros avances. Como “buenas” estudiantes de teología feminista, teníamos que ser autodidactas… Durante casi diez años dediqué muchas horas a buscar textos de teología feminista, buceando por Internet, leyendo libros que me llevaban a otros libros, fuera cual fuera el tema concreto que abordaran los textos, intuyendo que había mucho más, pero no sabiendo cómo llegar a ello ordenadamente.

Fui conociendo la terminología teológica feminista a base leer y releer textos, cayendo en la cuenta, días después, de lo que significaba algo que había leído cincuenta páginas antes. Algunas autoras me resultaban especialmente difíciles, pero seguía adelante con la esperanza de acabar entendiendo lo que decían. En realidad, no sabía cómo organizar ni mis descubrimientos ni los conocimientos que iba adquiriendo ni las ideas que yo misma iba generando. Y, en efecto, no fui inmune al contacto con la teología feminista, pues cambiar mi punto de vista lo transformó todo.

Hace dos años, también por casualidad, descubrí EFETA, la Escuela Feminista de Teología de Andalucía, que me dio la posibilidad de estudiar teología feminista de forma sistemática y con herramientas que, como autodidacta, hubiera tardado años en manejar. Al mismo tiempo que me iniciaba como alumna de la Escuela, empecé a formar parte del equipo de Umbrales, el espacio de espiritualidad feminista de EFETA, lo que supone para mí una experiencia única de búsqueda compartida de formas nuevas de encuentro conmigo misma, con la realidad, con la naturaleza y con la Divinidad, formas que Umbrales ofrece a quien quiera acercarse a nuestro espacio.

Encontrar EFETA fue, cualitativamente, tan importante como descubrir la teología feminista, porque EFETA es mucho más que una escuela en la que se adquieren conocimientos estructurados. Es, ante todo, un proyecto que excede los límites de las enseñanzas on line que se imparten y del que forman parte todas las personas que colaboran en él, sean alumnas o profesoras (mujeres la mayoría, pero no únicamente) o integrantes de otros equipos y comités. Es un marco de pensamiento teológico y de espiritualidad feministas, en el que se generan, se expresan y se comparten ideas. Y las ideas son poderosas, muy poderosas, porque transforman el mundo y la historia. Me trasforman a mí.

En los dos últimos años, mi vida ha cambiado mucho. Y yo también. Hago lo mismo que antes, pero con una perspectiva diferente, feminista y liberadora.

Ordenar mis ideas, conocer otros puntos de vista, disponer de herramientas de análisis, encontrar personas con las que compartir, alimentar la autocrítica… me ha hecho más libre y más responsable, me ha descubierto un poder que no sabía que tenía, me ha dado palabras con las que expresarme y con las que luchar por lo que creo justo. También hago cosas nuevas, algunas retomadas de sueños que creía perdidos, otras, fruto de una nueva mirada que me mantiene despierta y de una nueva fuerza que me mantiene viva.

Este verano acudí a la asamblea de la Asociación de Mujeres Investigadoras en Teología (con abreviatura en inglés, ESWTR) que se celebró en Winchester. Me impresionó el valor que las teólogas europeas concedían a EFETA. Afirmaban que una escuela así era el sueño de cualquier teóloga feminista. Hace pocos días, una amiga fue testigo de cómo una conocida teóloga estadounidense le explicaba a una colega australiana qué era EFETA, mientras mostraba la mayor admiración por las teólogas españolas que habían sido capaces de poner en marcha un proyecto así. Ella también lo consideraba un sueño inalcanzable. Pero no es un sueño, sino una realidad.

Tenemos al alcance de nuestra mano la posibilidad de ser teólogas feministas superando el autodidactismo, de trabajar de una forma nueva, paritaria y liberadora, de crear conocimiento y de compartirlo, de encontrar nuevos lenguajes… Las teólogas profesoras de EFETA no tienen el título de Teología Feminista, pero quieren para sus alumnas algo mejor de lo que ellas mismas tuvieron. Quieren allanar algunos caminos, para que no se gasten todas nuestras energías en recorrer a tientas senderos en los que algunas mujeres ya han dejado sus lámparas encendidas. Quieren facilitar el acceso a los estudios teológicos feministas a todas las personas interesadas en ellos, que buscan y no siempre encuentran. Quieren que nuestro pensamiento sea reconocido y que podamos dar razón de nuestra fe en una Divinidad de la que las mujeres somos imagen perfecta y de una esperanza en un mundo donde las mujeres seamos reconocidas como seres humanos plenos, adultos, libres y responsables, capaces de pensamiento, de palabra y de acción trasformadora. ¿Vamos a renunciar a este sueño?

sábado, 24 de octubre de 2009







Pasamos un día tan bueno haciendo jabón. La ilusión de la gente motiva mucho y sobretodo que para ellos es un gran descubrimiento y les supone un ahorro que valoran mucho.

Te envío una foto de la capilla, donde hicimos una oración preciosa en torno al cuidado de la tierra nuestra madre. No sabes como la gente se metió en esto, con una gran sensibilidad y compartiendo como el Señor que nos ha dado tanto y que está tan cerca, en nuestro entorno nos invita a cuidar desde lo que tenemos cerca, a nuestra mano.

A mi, me emocionaba ver a la gente llegar, cada una con su tanque, su palo, su caja de cartón y una gran sonrisa y disponibilidad para ponerse a trabajar. Omaira, la de Genené vino con su mama, y dijo al llegar: traigo a mi mamá que viene incrédula. Me encantó. todos se fueron contentos. Si vieras a Rey con lo que le encanta descubrir cosas nuevas, era un gusto verlo.

domingo, 18 de octubre de 2009

Solidaridad de los trabajadores panameños con los trabajadores mexicanos

Muy querida Hermanas, comparto con todas este gesto solidario del Pueblo trabajador panameño que está en cotra de todo lo que atenta la vida, el trabajo, el pan, la seguridad de los trabajadores mexicanos. Pidamos para que este gesto de solidaridad de fuerzas a los hermanos y hermanas mexicanos:

Foro Sindical se solidariza con los trabajadores del Sindicato Mexicano de Electricistas
El Foro que concluye hoy es histórico. Estuvo organizado por ASEUPA, CONUSI y la Universidad de Panamá.


RESOLUCION DE SOLIDARIDAD
PRIMER FORO POR EL DERECHO A LA SINDICALIZACION DE LOS TRABAJADORES DEL SECTOR PUBLICO

CONSIDERANDO:

Que al borde de la media noche del sábado 10 de octubre del presente año, en México, siguiendo órdenes del Presidente Felipe Calderón, grandes contingentes de policías procedieron a tomarse las instalaciones de la Compañía Estatal Luz y Fuerza del Centro, expulsando a los trabajadores y asumiendo las operaciones de suministro de energía eléctrica en la capital mexicana y estados circunvecinos.
Que posterior a esta acción de fuerza se dio a conocer el decreto de extinción de la Compañía Luz y Fuerza del Centro, a lo que continuaría su liquidación.
Que esta medida es el preludio a la privatización de unas de las pocas empresas estatales en México.
Que esta acción dejará sin empleos a más de 40 mil trabajadores.
Que con esta medida se busca acabar con el Sindicato Mexicano de Electricistas (SME), una de las organizaciones históricas del movimiento sindical mexicano, reconocida por su beligerancia y trayectoria de lucha.
Que con posterioridad se ha conocido que las fuerzas de seguridad han ido casa por casa en busca de los trabajadores para en algunos casos obligarlos a trabajar dada la incapacidad del gobierno de mantener las operaciones de la empresa eléctrica, y por el otro lado, para obligarlos a firmar su liquidación como trabajadores.
Que estos hechos sientan un precedente funesto en materia de libertad sindical, derecho a sindicalización en el sector estatal y de violación a elementales derechos laborales.
RESUELVE:

Condenar de la forma más enérgica esta salvaje acción del Gobierno Mexicano que preside Felipe Calderón contra los derechos de los trabajadores y contra una empresa que es patrimonio estatal con el fin de privatizarla para favorecer a las mafias asociadas al poder.
Declarar en este Foro nuestro firme apoyo a los compañeros del Sindicato Mexicano de Electricistas (SME).
Llamar al conjunto del movimiento sindical panameño a desarrollar acciones de solidaridad con nuestros hermanos mexicanos.
Resaltar en este Foro este hecho como una clara violación del derecho de sindicalización de los trabajadores del sector público, tema objeto de nuestros debates.
Hacer un frente común a nivel internacional para desarrollar intensificar las acciones de solidaridad con los trabajadores y el pueblo mexicano, uno de los más golpeados por la crisis económica mundial y los efectos de los tratados de libre comercio (TLC`s).
Exigir el respeto a la integridad física y a los derechos de los trabajadores de la Compañía Luz y Fuerza del Centro.
Enviar copia de esta resolución a la Embajada de México, a las organizaciones sindicales y sociales y medios de comunicación.
Dado en la ciudad universitaria “Octavio Méndez Pereira”,

Panamá, a los 16 de octubre de 2009.

miércoles, 7 de octubre de 2009

Atropellos de parte del gobierno con los indígenas

Queridas Hermanas les comparto este video en el que los mismos indígenas nos cuentan cómo están siendo víctimas de las injusticias que el mismo gobierno está permitiendo y está ejerciendo sobre ellos y ellas.

Solidaricemos con todas nuestras fuerzas de intercesión por ellos y ellas para que se les abran los caminos de la Justicia Económica, Social y Política.

lunes, 5 de octubre de 2009

Compartir de Carmelita sobre el paso de nuestros hermanos y hermanas indígenas

Al fondo de la pancarta de los indígenas están Carmen y Bety llevando una pancarta de la Parroquia como bienvenida y acogida a los indígenas.



Este trozo que voy a copiar me lo ha escrito Carmelita, en relación al paso de nuestros hermanos y hermanas indígenas por nuestra comunidad parroquial del Espino, donde está el noviciado, me da tanta alegría que nuestras comunidades (tanto el Espino como Cañita) vivan este paso de Dios que tal como me lo ha escrito Carmelita lo quiero compartir:

"De verdad que hoy ha sido un día lleno alegría por todo lo vivido, pues como estaba anunciado, llegaron nuestros Hnos. Ngnobes: y sabes qué?
Lo primero que dijeron fué que recordaban como hace 12 años fueron recibidos aquí en esta misma comunidad y lo bien que se habian sentido, venia la joven que cantó durante la marcha, tenia entonces 13 años, y venia con el nombramiento de cacique, ella se acordaba mucho de las Hnas. que estaban, se acordaba de Dolores, preguntó por ellas, el cacique principal lo dijo claramente a todos que se sentian como en su casa como aquella primera vez, de verdad que la gente del espino se portó a la altura, bueno el grupo que siempre responde. María le llamó A Doctor, el cuñado de del señor Chicho, el estubo examinando a algunos que venian enfermos y con fiebre, hasta los inyectó. No sabes lo contentos que se fueron.
Y todos los que estuvimos ahi, experimentamos un gozo profundo, un algo que nos hizo sentir hermanos.
Esto ha sido "EL PASO DEL SEÑOR" que nos ha visitado"

Un abrazo a todas y seguimos orando por la causa de estos pueblos originarios despojados pero DIGNOS, VALIENTES Y LUCHADORES POR SUS HIJOS, HISTORIA Y TIERRA.

TAMBIÉN OREMOS POR ARCE QUE VA A SER OPERADA EL DÍA 8 DE SU RODILLA PARA QUE TODO PUEDA SALIR BIEN Y ELLA ESTÉ CON PAZ.
HASTA PRONTO.

domingo, 4 de octubre de 2009

Alegría por la solidaridad del pueblo panameño con los indígenas

Nos da alegría poder constatar la solidaridad que el pueblo sencillo va ofreciendo a los y las indígenas Ngäbe Buglé que caminan junto con otros Indígenas y Campesinos desde el 17 de septiembre.
La realidad es muy dura para ellos y ellas, hoy la caminata ha llegado al Espino, y las hermanas han podido vivir de cerca esta solidaridad con nuestros hermanos y hermanas que traen sus pies heridos, mucho cansancio en sus cuerpor pero también mucha ILUSIÓN Y ESPERANZA EN PODER LOGRAR DEROGAR LAS LEYES QUE LESIONAN SU PATRIMONIO COMARCAL Y EN EXIGIR LA DEMARCACIÓN DE LA COMARCA DE OTRA ETNIA, LA NASO QUE HA SIDO DESPOJADA DE SUS TIERRAS POR EMPRESAS NACIONALES Y EXTRANJERAS PARA HACER HIDROELECTRICAS Y EXPLOTACIÓN DE MINAS.

VEAMOS ESTE VIDEO Y REZEMOS CON ÉL.

lunes, 28 de septiembre de 2009

Solidaridad con los indigenas Naso

Muy queridas Hermanas, desde aquí queremos compartirles que seguimos de cerca la realidad de los indígenas de Panamá, tanto su caminata que busca el respeto a sus derechos a la tierra y ahora el violento desalojo que han vivido después de resistir muchos meses en un Parque llamado "Parque Catedral" frente a la Presidencia de la República Panameña.

He puesto 2 videos más para que podamos conocer el violento desalojo del que han sido y están siendo víctima desde inicios de este año, en Bocas del Toro.

Un abrazo grande a todas y a la vez podemos seguir unidas en la oración por estas intensiones de los más pequeños y amados por Dios.







jueves, 24 de septiembre de 2009

Conociendo a nuestras hermanas


El lunes 21, fuimos a conocer la comunidad donde vive Lorraine y Claire, conocimos a las hermanas Lorianna, Francoise, Flourette, Liliane. Compartimos con ellas la Eucaristía y los Laúdes, después tuvimos el desayuno que estuvo bien animado y lleno de la novedad que nos implica estar en esta realidad distinta y a la vez cercana.



Las hermanas se mostraron muy atentas, acogedoras y con mucha alegría de que estemos viviendo esta experiencia en Canadá.

Pudimos observar en una pequeña sala-museo, varias fotos que nos hacen repasar nuestra historia congregacional, hemos puesto aquí una de ellas, que muestra a Emilia con sus 11 primeras compañeras... valoramos mucho cómo nuestra hermanas guardan con tanto cariño estos fragmentos históricos y los tiene expuestos en esta pequeña sala.



Hoy ha terminado nuestra primera semana en la Escuela. Agradecemos mucho a Dios el estar viviendo esta experiencia tan cargada de generosidad de parte de El, de nuestras hermanas y de la Congregación.

En la comunidad, en láudes y vísperas, también en la misa seguimos unidas a la realidad de nuestros pueblos y de la Congregación, y pedimos a Dios por todo... La Marcha de los indígenas de Panamá, el Consejo de Congregación, etc.

miércoles, 23 de septiembre de 2009

Compartiendo nuestras últimas experiencias

El lunes 21, hemos empezado el curso de francés, en una institución que tiene las siglas C.A.S.A (Centro Alpha Santa Ana) es un centro subvencionado por el estado para que pueda ofrecer preparación a los emigrantes en ferencia al idioma francés. Nosotras podemos participarticipar en ésta institución, pues lo dirigen las Religiosas de Santa Ana quienes se dedican en ese Centro a apoyar a los emigrantes, no solo en el aprendizaje de la lengua sino también les ofrecen asesoría jurídica, con respecto a Migración, asesoría en cuanto instancias para buscar empleos, dejar a los niños en guarderías seguras etc.
En este momento estamos con 18 compañeros y compañeras, con nosotras dos, somos 20 de 13 nacionalidades (China, Polonia, Vietnan, Colombia, México, Laos, Perú, Chile, Filipinas, Panamá, Canadá...)
Definitivamente esta es una experiencia única, tanto para aprender, como para compartir la vida con personas que han tenido que dejar sus familias, países etc.
Tenemos una profesora que es una religiosa canadiense muy competente y con muchos deseos de que aprendamos. El ritmo de estudios es fuerte, sin embargo tenemos mucho ánimo y esperanza de poder aprovechar bien todo lo que ahí nos van a ofrecer.
Por lo demás, en la casa recibimos un fuerte refuerzo afectivo y efectivo pues las hermanas se preocupan mucho de nuestro bienestar con respecto a la comida, al clima, a la salud y por su puesto a la vida comunitaria. Nos vamos sintiendo muy acompañadas por las dos, Pierret y Rollande.
Les queremos contar que el sábado fuimos a conocer el Oratorio de San José que fue comenzado por el Hermano Andrés. Lo que más nos gustó además de este oratorio, además de su belleza estética en sí y de su maravillosa ubicación desde la que se puede ver, contemplar y admirar la ciudad, fue su Via Crucis, con esculturas tan bonitas, y las pinturas de San José con distintos pasajes en torno a la vida de Jesús.

Es bonita la historia del Hermano Andrés, un hermano que trabajaba en la porteria del colegio Notre Dame, un hombre sencillo sin preparación académica pero con una vocación clara de interceder, de orar por los demás. Esta vocación y carisma le ganó el cariño de los quebequenses, también, la gente por medio de él acrecentó su confianza en la intercesión de San José. La gente sube a la basílica, a pié, de rodillas, etc, así como en nuestras culturas lo hacen por el Cristo de Esquipulas, el Nazareno, el Señor de los Milagros etc. Realmente este oratorio, sus esculturas, pinturas y su gente de Quebec es son muy dignos de ir a conocerles.





Bueno mis queridas hermans esto es lo que les queremos contar por ahora, un abrazo fuerte a todas y nos encomendamos a su oración por nuestra estadía aquí en tre este pueblo trabajador y acogedor.

jueves, 17 de septiembre de 2009

SOLIDARIDAD CON LOS PUEBLOS INDÍGENAS DE PANAMA

Queridas hermanas, les comparto que en Panamá, se ha iniciado hoy LA GRAN MOVILIZACIÓN NACIONAL INDÍGENA, CAMPESINA Y POPULAR QUE NECESITA DE NUESTRA SOLIDARIDAD.
Unas 150 personas arrancaron hoy con la caminata y tendrán 370 kilómetros por delante. Después, acamparan en ciudad de Panamá por unos 15 días.
Ellos y ellas necesitan de nuestra ayuda para conseguir o financiar medicinas, transporte, combustible, alimentos, calzados, vestidos, paraguas, entre otras cosas...

Les invito a visitar su página web, donde nos dicen ya: "Nosotras y nosotros -indígenas, campesinos y sectores populares, afectados por los proyectos transnacionales (minería, hidroeléctrica, turismo) y propietarios latifundistas e instituciones de estado panameño-, caminamos y luchamos por el "Derecho a la existencia de los pueblos originarios y campesinos en sus comunidades y territorios ancestrales con justicia social""

PÁGINA WEB DE LOS COMPAÑEROS Y COMPAÑERAS INDÍGENAS: http://www.caminatapanama.org/
Este será su recorrido:



DESDE AQUÍ EN CANADÁ, ESTAREMOS MUY UNIDAS A LAS PETICIONES QUE LOS INDÍGENAS HARÁN AL GOBIERNO NACIONAL, COMO VERÁN EN SU PÁGINA WEB, SU CASO HA SIDO ESCUCHADO EN LA CORTE INTERAMERICANA DE LOS DERECHOS HUMANOS Y SE HA HECHO UNA RESOLUCIÓN A SU FAVOR QUE EL GOBIERNO NO QUIERE ACATAR.

BUENO ESPERO LA SOLIDARIDAD DE TODAS, EN LA ORACIÓN Y TAMBIÉN DESDE LAS POSIBILIDADES DE NUESTRAS COMUNIDADES DE PANAMÁ.
¡HASTA PRONTO!

martes, 15 de septiembre de 2009

viva la vida cotidiana y VIVA MÉXICO








Hola:

Queremos seguir compartiendo la vida sencilla de estos dìas con ustedes.

El domingo 13 de sep. las HH tuvieron un encuentro con las Asociadas y nos invitaron para conocerlas, primero tuvieron un rato de Adoraciòn y despuès la animaciòn con un pequeno tema sobre la Virgen Marìa. nos dio alegrìa compartir con ellas este momento en el que experimentamos el amor que ellas tienen por Marìa y por Emilia.

Ya nos hemos inscrito para el curso de francès. Empezaremos el lunes 21 de sep. de 1 a 4 pm, estamos con ilusiòn de ya iniciar nuestras clases formalmente.

Ayer hemos paseado por un parque que esta muy cerquita de la casa, nos hemos embelezado viendo a las ardillas, estamos contentas de disfrutar con esta bella naturaleza, el aire fresco, las flores, las hojas de los àrboles que ahora estàn cayendo.

Hoy hemos tenido una jornada de limpieza, asì que todo ha quedado de maravilla y bien limpio.

Bueno desde aquì enviamos una felicitaciòn a todas las hermanas del pueblo mexicano, que celebran un aniversario màs de su fiesta de Independencia...iVIVA MÈXICO!

sábado, 12 de septiembre de 2009

Disfrutando












Seguimos disfrutando nuestra semana de aclimatación y descanso. Hemos tenido la Eucaristían en la Iglesia que está al lado de la casa, también en nuestra capilla y en otra parroquia llamada Sainte Odile. Pedimos mucho por Alicia Mozo y nos alegra saber que su mejoría va siendo una realidad.

Al caminar hacia la Parroquia de Sainte Odile, hay bonitos parques donde se ve a la gente caminar con sus niños, perros, andar en bicicletas etc. Siente una el deseo de que en Panamá tuvieramos parques que nos dieran la oportunidad de pasear y gozar de la naturaleza.





Hemos contemplado cómo van cambiando de color las hojas de los árboles, es un regalo porder mirar el colorido y la belleza de esta naturaleza que nos rodea.




Por la tarde una familia, juega con su hija, su perro y conversa admiramos esto y nos alegramos.










Hoy por la tarde hemos dado un paseo por el río y nos hemos encontrado con las ardillas, son amistosas, no muestran miedo...



Por la noche llega una amiga de las hermanas que se llama Susana, cenamos con ella y pasamos un momento muy agradable, luego jugamos cartas y podemos experimentar la alegría de compartir estos momentos de esparcimiento

jueves, 10 de septiembre de 2009

Aprendiendo





Queridas Hermanas aquí seguimos en Canadá, viviendo con alegría esta buena experiencia.
Rollande nos ha comprado un curso muy completo de fonética progresiva, y ya nos hemos puesto manos a la obra, mientras empieza nuestro curso. Antes, hace dos días nos indicó también que en la computadora de la casa, hay direcciones en favorito (que dejó guardadas Carmen Elena) que contienen clases de gramática francesa etc.
Como verán el interés de las hermanas de que aprendamos es bien estimulante.

Pierret, ayer en dos momentos llevó la comunión a varias personas (9), hoy hizo la compra y por la tarde nos ha invitado a hacer el arroz. ¿Por qué será?. No lo sé, el hecho es que ya lo hemos hecho y esperamos haya salido rico. Por la tarde vendrá Lorraine a visitarnos.
Bueno un abrazo grande a todas con cariño Lupita y Vielka